Selon leur origine, des dégâts tuant des objets d’art peuvent être groupés comme suit:

– dégâts causés par les matériaux et les technologies appliqués pendant la préparation de l’objet. Par exemple, les réactions chimiques à cause de la présence des matières chimiquement instables, ou une vie courte causée par la qualité faible du matériel, ou des problèmes dus à une technique de préparation défectueuse.

– dégâts causés par l’usage de l’objet d’art. Par exemple, les dégâts généraux  des objets  de  différente mesure: des usures, des déchirures, des cassures et des pollutions.

– dégâts à cause des conditions de stockage insuffisantes. Par exemple, des déformations et des lésions dus au bondissement, une température inadéquate, ou les changements de volume et de structure causée par la plus grande mesure que permis de l’humidité relative, de l’intensité lumineuse ou du rayonnement ultraviolet.

-dégâts causés par des catastrophes, par exemple, un incendie ou un dégât des eaux, ou bien des dégradations au cas le sauvetage soudain qui les suit.

– dégâts à cause des abimes volontaires, par exemple, des estropiements

– dégâts dus à un traitement négligent ou une défaillance. Par exemple, des problèmes arrivant à la suite de l’utilisation  non destinée des remises

– dégâts percevable à cause des interventions non professionnels, ou nocives. Par exemple, des réparations, des renforcements et des restaurations anciens.

Selon leur caractère,  des dégâts tuant des objets d’art peuvent être groupés comme suit :

– dégâts physiques. Par exemple, des usures, des ruptures, des cassures, des déformations, des défauts, une structure faiblie, des décolorations, des changements de couleur, des pollutions, etc.

– dégâts biologiques. Par exemple, des dégâts causés par des bactéries ou des champignons.

–  dégâts chimiques, Par exemple, les résultats des processus chimiques générés dans les différents matières qui constituent l’objet : l’acidification, l’alcalisation.

Généralement, au cas d’un objet d’art, ses dégâts apparaissent accumulés, car les effets tuant ces objets sont aussi complexes et peuvent être les conséquences de l’un l’autre.

Pour le traitement adéquat de l’objet d’art, il est essentiel de connaître les conditions à fond, et de trouver une solution synthétique et globale.